Meilleures Ventes
Il y a 96 articles.
Un hiver agité
Rien ne va plus pour Philippe Gandelot, écrivain, 42 ans. On le dit beau gosse, mais Elizabeth, sa belle blonde qu'il aimait comme un fou, l'a plaqué. Son éditeur a fait faillite, pourtant son dernier roman marchait bien. Alors que devenir dans une province «grise et terne», loin des possibilités éditoriales et médiatiques de la capitale, seule...
Nuageux avec embellie
L’auteur vit à Paris ; elle aime sa ville et y déambule, attentive à ses changements. Elle évoque le temps qu’il fait, le temps qui passe, ses allées et venues dans la cité, sa maison, son quartier, ses voisins.Ses réflexions et ses envies, ses souvenirs, ceux qui lui sont chers, sont prétextes à cette écriture intime qui tisse le ténu de la...
La bande à papa
Dédé, onze ans, est plongé dans la guerre. Fuyant la Belgique avec ses parents, sa tante et sa grand-mère, il s'enfonce vers les routes du Nord de la France, dans ce qu'on appelle le fol exode de 40.De coups de chance en coups du sort, d'aventure en aventure, c'est un coin de la face cachée de l'homme qui nous est offert.
Une histoire ancienne
Qu'elles soient adolescentes, mères ou grands-mères, ces femmes cap-verdiennes sont toutes confrontées aux dures réalités de leur société construite autour d'une famille où l'homme est souvent absent. Pour échapper au lot quotidien elles se retrouvent entre elles, échangent leurs rêves ou leurs frustrations, évoquent leurs souvenirs avec réalisme et...
Sonyeuse
Récit réaliste et conte merveilleux, Sonyeuse est en premier lieu le souvenir d'enfance d'un petit garçon imaginatif et précoce, puis l'histoire d'amours illégitimes entre une Anglaise et son jeune amant dans le tumulte des commérages d'une petite ville de province.
Reprise des vides
Entré au supermarché pour y acheter un camembert, il y lut cet énigmatique écriteau : «reprise des vides». Il pensa : «Je souffre d’un excès de vides. Pourront-ils renouveler l'attirail de l’âme ?»Les «paraboles» qui constituent ce recueil nous introduisent dans des mondes dont l’évidence poétique simple est comme naturelle. Leur étrange incongruité ne...
L'arbre et l'hacienda
Traduit de l'anglais par Arturo Orzàbal Quintina. "Cette histoire d'une maison d'autrefois nous fut racontée un jour d'été, à l'ombre, par Nicandro, ce vieil homme que nous écoutions si volontiers parce qu'il pouvait se rappeler et narrer exactement la vie de chaque personne qu'il avait connue dans son village, près du lac de Chascomus, en pleine pampa du...
Pourquoi cela n'arrive qu'à...
De retour dans son Amérique natale, Adam Villemure, globe trotteur et poète à ses heures est un amant et compagnon fidèle, mais aussi un organisateur d’événements hors pair et un chef d’équipe compréhensif.En ce premier jour de juillet, la réalité le prend de court. On abat l’arbre fétiche qui ombrageait sa cuisine. Eve, sa compagne, menace de le quitter...
Arabesque du matin
Surprise, curiosité, méfiance, attirance : la chorégraphie amoureuse entremêle ses figures. Les pas de deux de Lucette Desvignes sont guidés par l’enchantement des sentiments, l’élan et la réserve, la timidité et l’audace, le doute et aussi l’abandon. Jeunes gens (Arabesques du matin) ou septuagénaires (Arabesques du soir), les personnages hésitent. Pour...
La réception d'adieu
Traduit de l’Anglais par Anne-Cécile Padoux. "Anita Desai est de la famille de Tchékhov, Katherine Mansfield, de Tourgueniev, de ces écrivains chez qui les orages grondent mais n'éclatent pas... Elle semble nous raconter des histoires de tous les jours, des anecdotes... Cependant, dans chaque regard, chaque sourire, sur chaque visage il y a l'essentiel :...
Mr. Ripois
D’instinct, M. Ripois allait là où vont les femmes, et leur seule présence le flattait comme une promesse de possession et une permission de choisir.On le voit assis dans un Lyons’. M. Ripois préférait ces restaurants, parce que le décor recherché attire une clientèle féminine. Il regarde l’une après l’autre les femmes qui sont là ; il scrute leur visage,...
Des jours à regarder la mer...
..."Sacrée tête de mule, tu ne pourrais pas me parler à moi aussi !" ronchonne Hector. Il est heureux de la présence de Mardi mais il ne le lui dira jamais. Il ne lut dira jamais que depuis son arrivée la vie a changé, que cette fois ça ressemble à la vie... Hector, gringalet bavard, toujours prêt à l'acrimonie, et Mardi, colosse taciturne accompagné de...