Le moulin de Virelune
Début du XXe siècle, dans les Mauges. Après le décès du meunier de Virelune, son fils, Jean Fonteneau, transforme le vieux moulin en auberge, sûr que le métier de son père ne le fera plus vivre désormais. Sa jeune épouse étant morte en couches, leur bébé nommé Mariette est confié à une tante qui se charge de l’élever jusqu’à ce qu’elle soit en âge de rejoindre son père pour travailler à ses côtés. Un valet est alors embauché pour s’occuper des terres qui, faute de temps, se retrouvent plus ou moins à l’abandon... Le style de Pierre Billaud, simple et clair comme les paysages de la Vendée angevine qu’il décrit, retrace à merveille les moeurs des gens des Mauges du début du XXe siècle, lorsque les machines agricoles commençaient à peine à faire leur apparition dans nos campagnes.
Pierre Billaud est né en 1875 à La Romagne, et mort en 1935. À la fois conteur du terroir, écrivain, musicien et poète, il décrit à merveille les paysages de la Vendée angevine ainsi que les moeurs des gens des Mauges du début du XXe siècle.
978-2-84379-715-6
Fiche détaillée
- Genre littéraire
- Terroirs - Campagnes - Vies d'autrefois
- Taille des caractères
- Corps 16
- Auteur
- Pierre Billaud
- Collections
- Largevision
- Inédit
- Non
- ISBN
- 978-2-84379-715-6
- Nationalité
- France
- Nombre de pages
- 208
Début du XXe siècle, dans les Mauges. Après le décès du meunier de Virelune, son fils, Jean Fonteneau, transforme le vieux moulin en auberge, sûr que le métier de son père ne le fera plus vivre désormais. Sa jeune épouse étant morte en couches, leur bébé nommé Mariette est confié à une tante qui se charge de l’élever jusqu’à ce qu’elle soit en âge de rejoindre son père pour travailler à ses côtés. Un valet est alors embauché pour s’occuper des terres qui, faute de temps, se retrouvent plus ou moins à l’abandon... Le style de Pierre Billaud, simple et clair comme les paysages de la Vendée angevine qu’il décrit, retrace à merveille les moeurs des gens des Mauges du début du XXe siècle, lorsque les machines agricoles commençaient à peine à faire leur apparition dans nos campagnes.